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Avec 1,2 million d’euros par an, Mainoo s’impose comme un bijou intouchable de Manchester United

par Isidore Akouete
09/10/2025
en Actualité
Kobbie Mainoo

À seulement 20 ans, Kobbie Mainoo s’impose déjà comme l’un des symboles de la nouvelle génération mancunienne. Pourtant, malgré un temps de jeu fluctuant et une concurrence féroce au milieu de terrain, le jeune international anglais aurait émis le souhait d’obtenir plus de minutes — quitte à envisager un prêt. Une idée que Manchester United a immédiatement balayée, fermant la porte à toute discussion, y compris avec l’Olympique de Marseille, intéressé depuis plusieurs semaines.

Table of Contents

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  • #1 Une rémunération en deçà des standards du football moderne
  • #2 Le paradoxe du refus : Intouchable mais sous-payé
  • #3 La concurrence au poste : Un obstacle salarial et sportif
  • #4 Une stratégie à double tranchant pour l’avenir

#1 Une rémunération en deçà des standards du football moderne

Avec un salaire annuel de 1,2 million d’euros, Kobbie Mainoo figure parmi les joueurs les moins bien payés de l’effectif de Manchester United. Pour mettre ce montant en perspective, le jeune milieu de terrain gagne en une année ce que certaines stars du club perçoivent en seulement deux à trois semaines. Cette rémunération relativement modeste – 100 000 € mensuels ou 23 077 € hebdomadaires – reflète son statut de jeune espoir en développement plutôt que celui d’un titulaire indiscutable.

Cette approche salariale conservatrice s’inscrit dans une volonté du club de préserver la hiérarchie économique au sein du vestiaire. En maintenant Mainoo à ce niveau de rémunération malgré ses performances prometteuses, Manchester United s’assure également une marge de négociation importante pour une future prolongation de contrat, tout en évitant de créer un précédent qui pourrait déstabiliser la structure salariale de l’académie.

#2 Le paradoxe du refus : Intouchable mais sous-payé

Le refus catégorique opposé à l’Olympique de Marseille révèle un paradoxe fascinant : Manchester United considère Mainoo comme « intransférable » tout en le maintenant à un salaire qui le place dans le dernier quintile de la masse salariale du club. Cette contradiction apparente cache en réalité une stratégie délibérée. En refusant tout départ, même sous forme de prêt, les Red Devils envoient un message clair sur l’importance stratégique du joueur, tandis que son salaire actuel leur laisse une marge financière confortable pour récompenser ses progrès futurs.

Cette situation place également Mainoo dans une position délicate. Avec un contrat courant jusqu’en 2027 plus une année optionnelle, le joueur de 20 ans se retrouve lié au club pour potentiellement six années supplémentaires à un salaire qui pourrait rapidement devenir dérisoire s’il confirme son potentiel. Cette asymétrie pourrait alimenter les frustrations du joueur et expliquer ses velléités de départ mentionnées dans les spéculations récentes.

#3 La concurrence au poste : Un obstacle salarial et sportif

La présence de Bruno Fernandes, Casemiro et Ugarte au milieu de terrain crée non seulement une concurrence sportive intense, mais aussi un écart salarial vertigineux. Casemiro, par exemple, perçoit un salaire estimé à plus de 18 millions d’euros annuels, soit quinze fois supérieur à celui de Mainoo. Cette disparité salariale matérialise la hiérarchie sportive et peut s’avérer démotivante pour un jeune joueur ambitieux qui peine à obtenir du temps de jeu régulier.

L’approche de l’OM prenait tout son sens dans ce contexte : offrir à Mainoo une vitrine en Ligue 1 où il aurait pu s’exprimer en tant que titulaire, tout en négociant potentiellement une revalorisation salariale significative. Un prêt à Marseille aurait pu représenter pour le joueur un tremplin vers une reconnaissance économique plus juste, alignée sur ses performances et son potentiel. Le refus de Manchester United prive Mainoo de cette opportunité d’émancipation financière et sportive.

#4 Une stratégie à double tranchant pour l’avenir

Le maintien de Mainoo à Old Trafford avec son salaire actuel constitue un pari risqué pour Manchester United. D’un côté, le club protège un actif précieux et évite de renforcer un concurrent potentiel, même indirect. De l’autre, il risque de créer un malaise avec un joueur qui pourrait légitimement estimer mériter davantage, tant en termes de temps de jeu que de rémunération.

Dans un football moderne où les jeunes talents n’hésitent plus à forcer leur départ pour accélérer leur développement – comme l’ont démontré les cas de Jadon Sancho ou de Jude Bellingham avant leur retour en Angleterre – Manchester United marche sur une corde raide. La décision de bloquer tout départ devra s’accompagner rapidement d’une revalorisation contractuelle et d’un rôle sportif plus important pour éviter que la situation ne dégénère.

Avec seulement 3 288 € quotidiens, Kobbie Mainoo gagne en une journée ce qu’un cadre supérieur britannique pourrait percevoir en un mois. Si ce salaire reste confortable pour le commun des mortels, il apparaît dérisoire dans l’économie du football d’élite et pourrait devenir un point de friction si le club ne reconnaît pas rapidement la valeur grandissante de son joyau formé localement.

Mots-clés : Kobbie Mainoo

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